Le mardi 24 novembre 215, la Commission des lois du Parlement péruvien a longuement débattu d'un projet de loi d'initiative populaire en faveur de la dépénalisation de l'avortement. Il a finalement été rejeté.
Au Pérou, où la population est majoritairement opposée à l'avortement, celui-ci n'est dépénalisé qu'en cas de malformation grave du foetus ou lorsque la vie de la mère est en danger. En mai 2015, et malgré la pression d'associations féministes, le Congrès péruvien avait rejeté un projet de loi déposé par celles-ci. Cf. news IEB
Dans CE TABLEAU, l'Institut Européen de Bioéthique présente l'analyse de l'entièreté des auditions parlementaires des 20 experts, tenues en mai-juin 2018 sur la révision de la loi avortement. Il s'avère qu'une large majorité des experts auditionnés ne se sont pas prononcés sur 7 des 9 mesures phares en passe d'être adoptées. De plus, il ressort du rapport des auditions qu'aucune de ces mesures, telles que libellées dans le texte actuel, n'obtient la faveur explicite de la majorité de ces exp...
Jusqu'à présent, à Chypre, l'avortement n'était possible que si deux médecins certifiaient que la grossesse non-plnifiée posait des risques sérieux pour la santé physique ou psychologique de la femme.
Suite à l'adoption au Parlement des amendements modifiant le code pénal, une femme pourra désormais mettre fin à sa grossesse dans un délai de 12 semaines sans justifier d'un risque pour sa santé. Elle devra tout de même consulter un médecin.
Dans les cas de viol ou d'inceste, ce délai sera pro...
Alors qu'un vote définitif était annoncé depuis plusieurs jours à la Chambre, la proposition de loi concernant l'extension de l'avortement a fait finalement l'objet d'une nouvelle demande d'avis au Conseil d'Etat.
Plusieurs amendements complémentaires ont en effet été déposés par le cdH, le CD&V et la N-VA, au sujet desquels 55 députés ont sollicité l'avis du Conseil d'Etat.
Ces amendements ont notamment trait à l'absence de toute sanction prévue dans le texte actuel, en cas de non-respect...