Démence et dispositifs de détection d’errance: Avis du comité Consultatif de Bioéthique de Belgique

Publié le : Thématique : Fin de vie / Santé mentale Actualités Temps de lecture : 1 min.

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C'est en juillet 2011 que le ministre flamand du Bien-être, de la Santé publique et de la Famille, Jo Vandeurzen, demandait l'avis du Comité consultatif de Bioéthique de Belgique concernant les conditions éthiques préalables à l'utilisation de « dispositifs de détection d'errance» chez les personnes atteintes de démence. Sa demande s'inscrivait dans son plan politique en matière de démence intitulé : Plan démence pour la Flandre 2010-2014 (Dementieplan Vlaanderen 2010-2014.)
Le ministre souhaitait s'employer au développement de la technologie des soins et améliorer, à l'aide d'outils technologiques, l'autonomie, le confort et l'intégration sociale des personnes souffrant de démence. Tout en étant conscient des questions éthiques, le ministre souhaitaite proposer ces nouvelles technologies pour soutenir l'aide aux personnes dépendantes. Dans son dernier avis, le Comité consultatif de bioéthique définit un cadre éthique pour les dispositifs de détection d'errance.
Avis n° 56 du 16 décembre 2013.