Il est toujours difficile de penser à notre propre mort. N'avons-nous pas peur d'aborder ce sujet avec nos proches et parfois notre médecin ?
Cette Carte permet de réaffirmer notre confiance dans le médecin et de refuser autant l'acharnement thérapeutique que le comportement euthanasique.
Une Carte à garder sur vous, en confiant idéalement un deuxième exemplaire à votre médecin. Découvrez-la et n'hésitez pas à la faire connaître autour de vous.
Pour obtenir des exemplaires papier de cette carte, merci de nous envoyer une enveloppe pré-adressée et timbrée à votre nom à l'Institut Européen de Bioéthique ci-dessous.
Institut Européen de Bioéthique
1 rue de la Pépinière - boîte 2
1000 Bruxelles
Il est toujours difficile de penser à notre propre mort. N'avons-nous pas peur d'aborder ce sujet avec nos proches et parfois notre médecin ? La Carte de fin de vie proposée par l'IEB permet de comprendre certains concepts et surtout de faciliter une communication sereine au sein de la famille. Elle nous permet de réaffirmer notre confiance dans le médecin et de refuser autant l'acharnement thérapeutique que le comportement euthanasique.
Cour Européenne des Droits de l'Homme - Affaire A.K. c. Lettonie - Arrêt du 14 juin 2014
En 2002, à l'âge de 41 ans, madame A.K. donna naissance à un enfant qui s'avéra être atteint du syndrome de Down - ce qui ne fut découvert qu'après la naissance. Madame A.K. porta plainte contre l'hôpital et contre le gynécologue qui avait suivi sa grossesse, alléguant que ce dernier aurait dû lui proposer de passer un test de dépistage « AFP » - ce que, d'après madame A.K., il ne fit pas. Madame A.K. es...
La presse belge et étrangère parle de la Carte de Fin de vie de l'Institut Européen de Bioéthique. Au vu du succès croissant de la demande, nous en sommes à la cinquième réédition depuis 2008.
Pourquoi la demander ? Il est toujours difficile de penser à notre propre mort. N'avons-nous pas peur d'aborder ce sujet avec nos proches et parfois notre médecin ? Cette Carte permet de réaffirmer notre confiance dans le médecin et de refuser autant l'acharnement thérapeutique que le comportement eutha...