Début de vie (Belgique) > Procréation médicalement assistée

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Belgique : la PMA post mortem possible jusqu’à 5 ans après le décès du conjoint

La plupart des centres de PMA n’acceptent pas de prendre en charge ce genre de demandes très particulières : « Dans les PMA post mortem, c’est un projet qui a été pensé comme un projet de couple, qui n’a pas pu se faire, mais où l’ombre du partenaire est là, et tellement là que l’enfant sera issu de ce partenaire mort », explique Candice Autin, gynécologue et responsable du...

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Belgique PMA : la justice belge contraint un donneur anonyme présumé de passer un test ADN

Auteur / Source : L. Vanbellingen Publié le : Thématique : Début de vie / Procréation médicalement assistée Actualités Temps de lecture : 4 min.

PMA : la justice belge contraint un donneur anonyme présumé de passer un test ADN

C’est précisément cette quête des origines qui a poussé une femme belge, née d’une PMA avec donneur anonyme, à tenter de rechercher l’identité de son père biologique. Dans un premier temps, « Madame X » (pseudonyme retenu dans le communiqué de presse du tribunal) multiplie ainsi les démarches auprès des banques d’ADN commerciales (telles que MyHeritage) offrant leurs services sur...

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Conférence sur l'état des lieux de la bioéthique en Belgique: la vidéo est maintenant disponible!

Vous avez assité à la conférence et souhaitez revoir les interventions, vous n'avez pas pu y asssiter et vous êtes intéressé par le sujet, cette vidéo est faite pour vous.  Procréation et fertilité, grosssesse et accueil de la vie, accompagnement et fin de vie, cette soirée a été l'occasion de faire un état des lieux de ces sujets majeurs sur lesquels l'Institut Européen de...

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PMA en Belgique : jusqu’à 5 ans pour utiliser les gamètes ou les embryons du conjoint décédé ?

Le 27 janvier dernier, le conseil des ministres a approuvé un avant-projet de loi du ministre de la Santé publique Frank Vandenbroucke, qui permettrait au parent survivant d’utiliser les gamètes et les embryons congelés, s’il y en a, jusqu’à cinq ans après le décès du conjoint. Jusqu’à présent, la loi du 6 juillet 2007 relative à la procréation...

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Erreur de sperme dans une insémination artificielle en Belgique : quelle responsabilité du médecin ?

En janvier dernier, la cour d’appel de Gand a condamné pour faute médicale le médecin qui a procédé, en 1982, à l’insémination artificielle d’une femme avec les mauvais gamètes. Alors que le sperme de son mari devait être utilisé pour l’insémination, c’est le sperme d’un donneur qui a permis la conception de l’enfant. Ce dernier, devenu adulte, a porté plainte en 2019...

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Belgique Techniques naturelles d’aide à la procréation (NaProTechnologies) : encore trop peu de médecins formés en Belgique

Auteur / Source : Institut Européen de Bioéthique Publié le : Thématique : Début de vie / Procréation médicalement assistée Actualités Temps de lecture : 2 min.

Techniques naturelles d’aide à la procréation (NaProTechnologies) : encore trop peu de médecins formés en Belgique

Cette technique s'inscrit dans la médecine classique et nécessite un travail interdisciplinaire (médecin, sexologue, psychologue, gynécologues, etc.). Les couples sont suivis sur plusieurs mois et doivent coopérer avec les instructeurs et médecins via une auto-observation du cycle de la femme nécessaire au diagnostic.  Plusieurs examens médicaux ont lieu : notamment des bilans hormonaux, des bilans échographiques, le...

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L’Etat affecte chaque année 4 millions d’euros à la congélation des gamètes

En 2018, 524 patients atteints de cancer ont fait congeler leurs gamètes (spermatozoïdes ou ovocytes) en Belgique. Il s'agit d'hommes et de femmes qui, suite au diagnostic de cancer, ont dû subir un traitement lourd, de chimiothérapie, radiothérapie, ou de chirurgie qui risquait d'altérer leurs gamètes et causer l'infertilité. Ils se sont ainsi vu proposer la cryoconservation de leurs ovocytes ou spermatozoïdes, une technique intégralement remboursée par la sécurité sociale depuis 2017. En con...

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En recherche de son père, Steph aide les autres à retrouver leurs origines biologiques

Avec cinq « enfants de donneurs », elle a fondé la plateforme Donor Detectives : « Nous soutenons les personnes qui sont nées de gamètes anonymes, parce que nous pensons que chacun a le droit de connaître l'histoire de son existence et d'avoir la possibilité de renouer avec sa famille biologique ». Le site explique pas à pas comment procéder pour retrouver ses parents biologiques. Il s'adresse aussi aux donneurs, et aux parents « adoptifs » en les enjoignant à révéler la vérité à leurs enfants...

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Don de sperme : vendre la masculinité à défaut de rémunérer

« Besoin d'hommes généreux pour un job important » « Avez-vous ce qu'il faut pour devenir un héros ?» : ainsi s'intitulent des affiches publicitaires australiennes qui recrutent des donneurs de sperme.  Là où la loi interdit de rémunérer le don de gamètes, les banques de sperme développent des stratégies de marketing basées sur deux archétypes de la masculinité : le « soldat » servant son pays et le « héros » sauvant la dame en détresse. En lieu et place d'argent, ils offrent une identité. C'e...

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Explosion du nombre de traitements de procréation médicale en Belgique : Nouvelle Fiche Didactique

Au cours des dernières années, on constate une augmentation considérable du nombre de traitements de l'infertilité en Belgique. Le nombre de cycles de traitement par FIV / ICSI a plus que doublé entre 2004 et 2014, passant de 14.652 à 33.370 durant cette période. On a de plus enregistré une augmentation inexpliquée de presque 20% du nombre des traitements chez les moins de 36 ans. La Belgique est-elle plus sujette à l'infertilité ou plus prompte à lancer des traitements lourds et coûteux ? Ass...

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