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Moins d’avortements pendant le confinement : pourquoi ?
Publié le : Actualités Temps de lecture : 1 min.
On se souvient pourtant de la façon dont la Fédération laïque des centres de planning familial (FLCPF) interprétait fin avril, cette “baisse d'activité” au sein de ses plannings. Karim Majoros, directeur de la FLCPF assurait alors que beaucoup de femmes, pendant le confinement, n'osaient pas demander l'avortement en raison de la pression sociale exercée par les autres membres du foyer. Les plannings s'attendaient donc à un accroissement des grossesses non désirées, qui donnerait lieu à une exp...
Une euthanasie passive autorisée par un tribunal britannique
Publié le : Actualités Temps de lecture : 2 min.
Dans le cas d'espèce, les médecins se sont rendus compte de la nécessité de recourir à une stomie permanente car les jours du patient étaient en danger. Or, ce dernier avait émis une déclaration anticipée refusant ce type de traitement. Dans cette déclaration, communiquée par écrit à sa famille proche, le patient explique qu'il « refuse les éléments de traitement qui, bien que potentiellement nécessaires pour maintenir ou prolonger la vie, auraient pour conséquence directement ou indirectement...
Don d’organes post mortem : l’Angleterre et les Pays-Bas passent au consentement présumé
Auteur / Source : C. du Bus ; medicalert.org.uk ; rijksoverheid.nl ; gezondsheidsnet.nl Publié le : Actualités Temps de lecture : 2 min.
Depuis le 20 mai dernier, les Anglais sont présumés consentir au don d'organes après leur mort, à moins qu'ils n'aient manifesté leur opposition auprès du Système National de Santé (NHS). Pour augmenter le nombre de donneurs d'organes et ainsi répondre à la longue liste d'attente en matière de transplantation (plus de 6.000 personnes en attente de greffe en avril 2019), l'Angleterre fait donc le choix de quitter le régime dit “d'opt-in”. Ce dernier requiert des citoyens d'enregistrer leur cons...
Légaliser l’euthanasie… pour des raisons économiques
Auteur / Source : Journal of Clinical Ethics - D. Shaw & A. Morton Publié le : Actualités Temps de lecture : 2 min.
Cet article, co-écrit par David Shaw (chercheur en bioéthique à l'Institute for Biomedical Ethics de Bâle) et Alec Morton (chercheur en management de la santé à Glasgow), est intitulé « Counting the cost of denying assisted dying » (« Calculer le coût d'un refus de légalisation du suicide assisté »). Les deux auteurs cherchent ici à démontrer qu'il serait judicieux de légaliser le suicide assisté au Royaume-Uni en raison du coût économique que représenterait le maintien d'un refus en la matière.
Quel espoir donnons-nous à ceux qui souffrent ?
Publié le : Actualités Temps de lecture : 1 min.
Cette poussée a entraîné la réaction d'un groupe de députés, en particulier de Ian Paisley, membre du Parlement du Nord d'Antrim (Irlande du Nord). Selon lui, plutôt que de débattre ‘'pour savoir à quel moment tuer une personne malade'', le travail parlementaire devrait se concentrer sur les mesures à prendre pour donner de l'espoir aux personnes qui ne voient pas d'issue à leur souffrance. Il a ainsi rappelé qu'il fallait se demander avant tout quels soins palliatifs et quel soutien peuvent ê...
Un fœtus "transvasé" d’un utérus à l’autre ? Deux femmes se sont partagées « leur » grossesse
Auteur / Source : telegraph.co.uk – independant.co.uk Publié le : Actualités Temps de lecture : 1 min.
Deux femmes britanniques sont devenues le premier couple à devenir parents d'un bébé porté successivement dans le ventre de deux femmes. Comme le rapporte le quotidien The Telegraph, cette procédure dite de « co-maternité », réalisée au sein de la London Women's Clinic's, s'est déroulée en plusieurs phases. La première femme, Donna Francis-Smith, s'est dans un premier temps fait prélever un ovocyte. Cet ovocyte a été ensuite été fécondé de manière assistée (à l'extérieur de son utérus) avec de...
Trisomie 21 : le Service de Santé publique au Royaume-Uni revoit sa copie
Auteur / Source : dailymail.co.uk Publié le : Actualités Temps de lecture : 2 min.
D'autres changements significatifs concernent le test prénatal et l'annonce du handicap chez l'enfant à naître. A l'heure où bon nombre de parents se sentent sous pression pour effectuer ce test, et parfois-même pour avorter lorsqu'il s'avère positif, un encadré jaune affiche « Important : C'est votre choix de faire le test ou non. » De plus, le site ajoute que suite à l'annonce d'un diagnostic positif, les parents peuvent demander à rencontrer un professionnel de la santé qui travaille auprès...
205.295 avortements pratiqués en Angleterre et au Pays de Galles en 2018
Auteur / Source : : www.spuc.org.uk ; UKHealthCenter ; Rapport du Department of Health and Social Care : Abortion Stat Publié le : Actualités Temps de lecture : 1 min.
Il apparaît qu'en Angleterre et au Pays de Galles, la majorité des avortements sont financés par le National Health Service (NHS) ; toutefois en 2018, 72% de ces interruptions de grossesse ont eu lieu dans le secteur privé, provoquant une augmentation de 19% par rapport aux résultats de 2008. Notons qu'au Royaume Uni, l'avortement est gratuit dans un hôpital géré par le NHS ou une clinique spécialisée, mais l'avortement est payant dans des cliniques privées. Le prix varie en fonction du nombre...
Porte ouverte à l’euthanasie par omission de soins au Royaume-Uni
Publié le : Actualités Temps de lecture : 2 min.
Or, l'hydratation et l'alimentation sont des soins de base qui, au même titre que l'hygiène corporelle, répondent à un besoin énergétique fondamental de tout organisme, qu'il soit sain ou malade. Ils doivent en principe, être assurés, sauf contre-indication médicale fondée, lorsque la personne ne peut y pourvoir par elle-même et que les nutriments peuvent être assimilés correctement. C'est pourquoi, priver un patient de ces soins de base peut parfois être assimilé à un acte d'euthanasie. Les t...
Avec le Brexit, risque d'une pénurie de sperme au Royaume-Uni ?
Publié le : Actualités Temps de lecture : 1 min.
Une sortie de l'Union européenne sans accord risque de mettre en difficulté les couples britanniques qui font appel au don de sperme pour procréer, car ils ne pourront plus faire appel aux banques de spermes européennes, a souligné le gouvernement anglais. Dans une note technique destinée à préparer les entreprises et la population aux conséquences d'un divorce éventuellement sans accord, le gouvernement britannique souligne que le pays avait importé quelque 3.000 échantillons de sperme du D...