USA : les vétérinaires qui pratiquent l’euthanasie se suicident en nombre

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Synthèse du 4ème Rapport de la cellule d’évaluation des Soins Palliatifs en Belgique

La Cellule Fédérale d'Evaluation des Soins Palliatifs (CESP) a publié en juin 2018, son 4ème Rapport couvrant la période 2014-2017 pour « Offrir au lecteur un état des lieux le plus complet possible et prendre connaissance d'une série de préoccupations et de recommandations »

Par la loi du 14 juin 2002, tout citoyen belge a droit aux soins palliatifs. Selon les chiffres du KCE (Centre fédéral d'expertise en soins de santé.) entre 10.000 et 20.000 patients ont actuellement besoin de soins palliatifs dans notre pays.

Dans les hôpitaux belges, un malade sur cinq devrait pouvoir bénéficier d'une approche palliative, surtout en gériatrie, alors qu'en maison de repos et de soins (MRS), ce sont 14% des résidents qui devraient en bénéficier.

La synthèse du rapport se trouve ICI

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USA : les vétérinaires qui pratiquent l’euthanasie se suicident en nombre

USA : les vétérinaires qui pratiquent l’euthanasie se suicident en nombre

Chaque année, près d'1.5 millions d'euthanasies ont lieu aux Etat-Unis. Est-ce que cela expliquerait les dépressions et le taux de suicide chez ceux qui les pratiquent ? Les euthanasies mentionnées ci-dessus sont celles de chiens et de chats. Le mal-être et le suicide, celui des vétérinaires.

Y aurait-il un lien entre ce geste de mort que posent les vétérinaires et leur santé mentale ?

Selon une étude parue en 2013 dans le journal de l'American Association of Suicidology and Life-Threatening Behaviour, " les vétérinaires sont 4 fois plus enclins à se suicider que la moyenne de la population. " Les auteurs de l'étude affirment que, manipulant des substances létales et provoquant la mort des animaux, cela engendre une forme de banalisation de la mort : ils n'en n'ont plus peur. Et s'ils sont un jour en situation de stress ou de dépression, ils passent à l'acte pour eux-mêmes.

Et ce qui se révèle vrai pour les vétérinaires, pourrait-il s'appliquer lorsqu'il s'agit d'un médecin qui pr...

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Pays-Bas: les médecins doivent expliquer clairement les alternatives à l’avortement

Pays-Bas: les médecins doivent expliquer clairement les alternatives à l’avortement

Les responsables politiques du Staat Gereformeerd Partij (SGP), ont fait une proposition de loi demandant que chaque médecin ait l'obligation d'informer les femmes en demande d'avortement quant aux alternatives disponibles. « Si le médecin présente une information neutre et complète quant aux aides, - accouchement anonyme, adoption, placement dans une famille d'accueil, soutien de professionnels - c'est alors que la femme fera vraiment un choix libre. »

Le SGP relate le témoignage de femmes : « Je n'aurai jamais choisi d'avorter si le médecin m'avait expliqué qu'avec les aides disponibles, j'aurais eu la possibilité de garder mon petit. »

Selon le SGP, les médecins des centres de planning et d'avortement ne se préoccupent pas de donner ces alternatives, croyant à tort que la femme a déjà fait son choix. Et de proposer que ce soient les médecins de famille, indépendants des centres de planning, qui fournissent ces informations.

Source : Medisch Contact

Prochainement, nouvreau site...

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