Rejet loi euthanasie/ sédations abusives

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Australie et Nouvelle Zélande rejet de la dépénalisation de l'euthanasie

Australie et Nouvelle Zélande rejet de la dépénalisation de l'euthanasie

Le Parlement de la Tasmanie (Etat d'Australie) vient  de rejeter le projet de loi qui visait à dépénaliser l'euthanasie dans cet Etat. Il était proposé que les malades en phase terminale puissent mettre fin à leur vie 10 jours après avoir réitéré pour la troisième fois une demande d'euthanasie à leur médecin. Dans le Territoire du Nord, autre Etat d'Australie, l'euthanasie avait été dépénalisée, pour la première fois dans le monde, en 1995. Neuf mois après l'entrée en vigueur de cette loi, le gouvernement fédéral l'avait invalidée.
A noter également qu'en Nouvelle Zélande, la proposition de loi demandant la dépénalisation de l'euthanasie vient dêtre retirée par la députée elle-même qui l'avait introduite.
Source : Bioedge (Michael Cook) 19/10/2013

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Pays-Bas : sédations inappropriées

Pays-Bas - Pays-Bas : sédations inappropriées

Selon une étude du Centre Intégral du Cancer néerlandais (IKNL) , les soins apportés aux patients en phase terminale ne sont pas appropriés. Chaque année, 1700 cas de sédations en fin de vie relèveraient d'une pratique inadéquate pouvant cacher des euthanasies.
L'INKL, dans un article paru dans le journal Volkskrant le 8 octobre 2013, estime que la connaissance et l'expérience des médecins et des infirmières concernant la sédation ne sont pas appropriées. L'INKL explique que les médecins démarrent la sédation trop tôt, alors que ce type de protocole  ne peut être appliqué que si le pronostic de vie du patient est de moins de deux semaines.
Selon les résultats de l'étude conduite par l'IKNL, cette technique est aussi utilisée pour réaliser des « euthanasies cachées ». De plus,  on y lit que les médecins se sentent la pression des membres de la famille du patient. Le directeur d'IKNL, Marlies Jansen-Landheer, estime que cette pratique inadéquate de la sédation conduit à des souffrances...

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Le Luxembourg et l’avortement

Le Luxembourg et l’avortement

Au Luxembourg, l'avortement reste un geste exceptionnel. Dépénalisé depuis 2012 jusqu'à 12 semaines de grossesse, il ne se pratique pas en milieu hospitalier. L'encadrement en est très strict avec de nombreuses conditions restrictives notamment en ce qui concerne l'entretien préalable. Hors de ce cadre strict il est lourdement pénalisé.

De même l'objection de conscience des praticiens et auxiliaires médicaux est totale.
Seulement un petit quart des avortements concerne les Luxembourgeois de souche. Seuls les gynécologues peuvent le pratiquer.

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