Début de vie > Contraception

Publicité ciblée pour la pilule du surlendemain

Publié le : Thématique : Début de vie / Contraception Actualités Temps de lecture : 2 min.

Publicité ciblée pour la pilule du surlendemain

« C'est MA VIE, MON CHOIX, MON LENDEMAIN A MOI » ou « Un bébé ? Qui sait ? Peut-être un jour… Mais là, c'est mon choix, ma décision à moi. » sont les nouveaux slogans des trois publicités d'ellaOne pour la « pilule du surlendemain ». Epinglées ces derniers jours aux vidéos Youtube, ces publicités ont ciblé les femmes en...

Lire la suite 

Le CPAS d’Alost incitera-t-il systématiquement ses candidats à la contraception ?

La mesure a fait couler de l'encre ces derniers jours en Flandre : le CPAS d'Alost a décidé de suggérer d'office la prise de contraceptifs aux candidats pour le revenu d'intégration. « Nous devons oser dire aux gens qu'ils doivent prendre temporairement des contraceptifs », a annoncé Sarah Smeyers (NV-A), présidente du CPAS d'Alost. De plus, le CPAS remboursera la contraception si besoin. Entre obligation, encouragement et possibilité, le degré d'application de la mesure reste ambigu. Sarah ...

Lire la suite 

L’offre illimitée de contraception d’urgence, sans effets pervers ?

Alors que la grande majorité des médicaments connaît d'importantes restrictions lorsqu'ils sont commercialisés en vue d'éviter toute consommation inappropriée ou abusive, une exception existe : les "médicaments" de contraception d'urgence (MCU), qui peuvent aussi se révéler être abortifs. En plus d'être anonyme, la distribution de MCU est gratuite pour les mineures depuis l'an 2000 en France. Elle est disponible sur demande en pharmacie et infirmerie d'école. En Belgique, elle est en vente l...

Lire la suite 

La contraception hormonale de moins en moins satisfaisante ?

Publié le : Thématique : Début de vie / Contraception Actualités Temps de lecture : 1 min.

La contraception hormonale de moins en moins satisfaisante ?

Aux Pays-Bas, de moins en moins de femmes ont recours à la contraception hormonale. En 2017, 1.7 millions de femmes se sont vues prescrire la pilule, l'implant ou le stérilet hormonal, ce qui représente 43 % des femmes en âge de procréer, contre 48 % en 2015. Si cette baisse de « consommation » concerne tous les âges de 15 à 48 ans, elle est la plus forte parmi les femmes entre 21 et 31 ans. Jusqu'à 21 ans, la contraception est en effet automatiquement remboursée par la sécurité sociale. La ...

Lire la suite 

Belgique : enquête sur la contraception

Publié le : Thématique : Début de vie / Contraception Actualités Temps de lecture : 1 min.

Belgique : enquête sur la contraception

Une enquête sur la contraception a récemment été réalisée en Belgique par Solidaris, sur des individus âgés de 14 à 55 ans. Certains résultats interpellent. Tout d'abord, tandis que la popularité de l'implant, du patch et du stérilet augmente, on observe une remise en cause de certains moyens contraceptifs tels que la pilule ou le préservatif masculin. Alors que 96% des femmes (9% de plus qu'en 2010) disent prendre la pilule, on perçoit aujourd'hui une baisse de la satisfaction par rapport à c...

Lire la suite 

Belgique : plus de 10 millions d’euros consacrés par an par l’INAMI pour les moyens contraceptifs

En 2014, 570.000 femmes belges prenaient la pilule contraceptive. Ce nombre est en diminution car les femmes abandonnent progressivement la pilule oestro-progestative au profit d'autres moyens, comme le stérilet hormonal ou en cuivre. C'est ce qui ressort d'une réponse parlementaire de Maggie De Block à Yoleen Van Camp. De plus, le nombre de femmes ayant utilisé la pilule du lendemain a été multiplié par 10 de 2010 à 2014. Parmi les femmes qui arrêtent la pilule, nombreuses sont celles qui re...

Lire la suite 

Belgique : risques potentiels de la pilule du lendemain

Publié le : Thématique : Début de vie / Contraception Actualités Temps de lecture : 1 min.

Belgique : risques potentiels de la pilule du lendemain

Mieux connu sous le nom de « Pilule du lendemain », le Levonorgestrel (LNG) fabriqué par la firme Mithra à Liège (Postinor) et par Sandoz (Levodonna) à Vilvoorde, est un produit qui a pour but d'empêcher la survenue d'une grossesse après un rapport sexuel. Il doit être pris endéans les 72 heures qui suivent un rapport sexuel non protégé ou en cas d'échec d'une méthode contraceptive. Outre le fait de mentionner que la pilule du lendemain ne marche pas toujours, la mise en garde publiée souligne...

Lire la suite 

Pays-Bas : imposer la contraception aux femmes jugées incompétentes

Publié le : Thématique : Début de vie / Contraception Actualités Temps de lecture : 1 min.

Pays-Bas : imposer la contraception aux femmes jugées incompétentes

L'échevin à l'Education, à la Jeunesse et aux Soins, de la ville de Rotterdam, Hugo de Jonge, du parti démocrate-chrétien CDA, a fait une proposition conseil communal afin d'imposer la contraception à certaines femmes. La mesure concernerait entre dix et vingt femmes par an, des femmes aux problèmes psychiatriques ou de dépendance, mentalement déficientes, sans abri ou qui travaillent dans la prostitution. Elles seraient ainsi jugées inaptes à avoir un enfant.  Hugo de Jonge entend ainsi régle...

Lire la suite 

Europe : clarification pour la vente de produits contraceptifs ou abortifs

Dans le bulletin de l'IEB du 23 janvier 2015, mention était faite de la décision d'exécution de la Commission européenne du 7 janvier, qui autorisait la vente libre et sans prescription de la pilule abortive EllaOne,  dans les différents Etats membres de l'Union. En réponse à une question de parlementaires européens, la Commission a affirmé que la Décision n'oblige aucunement les Etats de l'Union à autoriser la vente de ce produit abortif sur leur territoire, que ce soit avec ou sans prescript...

Lire la suite 

Belgique : rembourser le stérilet et les patchs contraceptifs

Publié le : Thématique : Début de vie / Contraception Actualités Temps de lecture : 1 min.

Belgique : rembourser le stérilet et les patchs contraceptifs

Affirmant que, si la contraception n'est pas efficace, c'est parce qu'elle est mal utilisée, le Dr. Anne Verougstraete, qui pratique elle-même des avortements, plaide pour des moyens contraceptifs plus efficaces et fiables, et qui ne dépendent pas d'un oubli de la femme. Or, le stérilet (qui a un effet potentiellement abortif) ou le patch contraceptif coûtent environ 150 euros et ne sont pas remboursés. Même si pour les jeunes filles de moins de 21 ans, la première utilisation est gratuite, le...

Lire la suite