Euthanasie suivie d'un prélèvement d'organes

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Euthanasie et don d’organes en Belgique

Belgique - Euthanasie et don d’organes en Belgique

Tel était l'intitulé du Symposium organisé ce 28 septembre à Bruxelles par l'association « De Maakbare Mens ».

Depuis 2005, neuf patients ayant obtenu de se faire euthanasier ont fait don de leurs organes.
Parmi les 1.133 personnes ont opté pour l'euthanasie en 2011, seulement 10% d'entre elles auraient pu potentiellement faire don de leurs organes. "Il s'agit principalement de patients souffrant de problèmes neurologiques ou neuropsychiatriques", explique le Professeur Ysebaert de l'hôpital universitaire d'Anvers.  Le prélèvement d'organes ne peut en effet pas se faire sur des patients atteints d'un cancer, de maladies virales comme l'hépatite B et C,  et le SIDA.
Il est préciser dans ce Symposium, que les 9 personnes euthanasiées ayant décidé de donner leurs organes l'ont fait sur base volontaire.
Faut-il rappeler que dans les cas précis d'une demande d'euthanasie émanant d' un patient dont la maladie n'est pas au stade terminal, la loi belge exige de recourir à  l'avis d'un deuxi...

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Fatiguée de prendre la pilule

Fatiguée de prendre la pilule

« Je n'aime pas l'idée de prendre des hormones pendant 40 ans, puis d'en prendre encore à la ménopause. Ce n'est pas naturel ». (...) Ce qui fait fuir surtout les femmes, ce sont les risques de cancer et d'accident circulatoire.

Les contraceptifs oraux augmentent en effet le risque de cancer du sein mais aussi du col utérin et du foie, avec une incidence qui augmente avec la durée de la prise. Ils diminuent par contre le risque de cancer de l'endomètre et de l'ovaire. (...) Quant aux accidents circulatoires, liés à la prise de la pilule,  on considère que le risque est multiplié par deux :  il frappe 4 femmes sur 10.000 pour celles qui prennent les pilules dites « de troisième génération », c'est-à-dire qui contiennent de nouveaux progestatifs, notamment gestodène ou désogestrel. C'est un risque jugé suffisant pour que le ministère de la santé français ait décidé d'arrêter tout remboursement de ces pilules en septembre 2013.

Source : Le Soir  

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