Moins de possibilités pour les inséminations artificielles et les FIV?

Publié le : Thématique : Début de vie / Procréation médicalement assistée Actualités Temps de lecture : 1 min.

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Les gynécologues s'inquiètent des plans de réduction de coûts du gouvernement. Celui-ci envisage de ne plus rembourser qu'un seul frottis pour les femmes tous les 3 ans plutôt que tous les 2 ans comme c'est le cas actuellement.
C'est pourquoi, la Belgian Society of Reproductive Medicine a pris une initiative louable qui pourrait rapporter 4 millions d'euros en accord avec les gynécologues. Ils proposent en effet d'aller chercher l'argent nécessaire aux économies dans certaines sous-spécialisations en matière de fertilité : en abaissant, par exemple, l'âge limite pour les inséminations intra-utérines et les fécondations in vitro de respectivement 45 à 41 ans, et de 42 à 41 ans

Source : Le Journal du médecin, 8/05/2012, p.22.