Échographie de plaisir : faut-il légiférer ?

Publié le : Thématique : Début de vie / Diagnostics prénataux Actualités Temps de lecture : 1 min.

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Catherine Fonck, médecin et chef de groupe (CdH) à la Chambre, va interroger la ministre de la Santé, Laurette Onkelinkx, sur ce phénomène en expansion. “Il faut légiférer”, dit-elle. “Ce qui est interpellant, c'est la manière dont l'échographie est réalisée”, reprend Catherine Fonck. “Le foetus subit une exposition prolongée aux ultrasons, le plus souvent braqués sur la tête ou les organes génitaux. Or, on connaît toute la fragilité du foetus pendant la période de formation.”
Déjà très présent en France et au Royaume-Uni, le phénomène des échographies de plaisir se développe de plus en plus en Belgique. Une échographie dite de plaisir (ou affective) n'est pas un acte médical. “Il s'agit d'un premier contact avec le bébé”, explique la responsable de Babybelly (un centre de bien-être et d'imagerie pour femmes enceintes). Elle parle d'ailleurs plus volontiers d'“échographies souvenirs” .
Source: DH.be