Faut-il dépénaliser totalement l'avortement ?

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Faut-il dépénaliser totalement l'avortement ?

Faut-il dépénaliser totalement l'avortement ?

Le politique parle beaucoup de l'avortement en Belgique. Non pas des aides insuffisantes pour prévenir l'avortement lorsque la femme est enceinte, non pas des conséquences sociétales que constitue cet enjeu de santé publique.

La question qui fait débat est celle de la dépénalisation totale l'IVG pour que la femme "ne se sente plus culpabilisée". Quels sont les chiffres ? Y a-t-il vraiment des études fiables quant aux effets psychologiques d'une IVG sur les femmes ?

Les documents repris ci-dessous aideront  le lecteur à mieux cerner la problématique au-delà de toute revendication idéologique et politique.

Tableau comparatif de l'évolution des IVG en Europe : en 8 ans en Belgique, 22% d'augmentation d'IVG. La Belgique se place ainsi en deuxième place après l'Espagne.

Flash Expert :
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Il n'y a aucun « droit à l'avortement » issu du droit international et européen

L'avortement tardif au-delà de 12 semaines

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Pays-Bas : les médecins plus réticents à euthanasier

Pays-Bas : les médecins plus réticents à euthanasier

Aux Pays-Bas, le climat politique actuel et les enquêtes pénales en cours rendent les médecins plus prudents face à une demande d'euthanasie, confie la directrice de la NVVE (Nederlandse Vereniging voor een Vrijwillig Levenseinde), Agnes Wolbert, au magazine Trouw.

L'interprétation libérale de la loi offre pourtant des possibilités d'euthanasie à un nombre de personnes toujours plus important. Les personnes âgées souffrant de « polypathologie », de problèmes psychiatriques ou de démence, certaines personnes qui estiment leur vie « complète » reçoivent à présent une porte d'entrée vers l'euthanasie.

L'information sur ces possibilités ne circule par contre pas suffisamment, estime Agnes Wolbert. Elle en impute la responsabilité au gouvernement actuel. La publication d'un « Code de bonnes pratiques » en matière d'euthanasie est prévue pour 2018, mais le gouvernement a indiqué vouloir savoir auparavant quelles sont les questions que la population se pose réellement sur la fin de vie.

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